Le Clermontois prononce « drolle » au lieu de « drôle », « goche » au lieu de « gauche », « rhose » au lieu de « rose ».

Pour les gens du nord, il habite dans le sud et pour les gens du sud, il vit dans le nord.

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour réaliser le portrait d’un Clermontois.

L’Aixois peut prendre 5 bus pour faire le tour de la ville.

Il pense que la fac de Lettres est l’une des plus délabrées de France.

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour réaliser le portrait d’un Aixois.

Le Brestois utilise souvent les expressions « prendre les ribines, aller en riboule, prendre des louzoux, avoir les cheveux qui partent à dreuz ou en distribill. »

Il sait que le Breton n’est pas un patois, mais une vraie langue.

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour réaliser le portrait d’un Brestois.

L’Angevins dit souvent « où tu es rendu ? ».

Il parle du château uniquement comme un point de repère car il ne l’a jamais visité.

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour réaliser le portrait d’un Angevins.

Le Tourangeaux trouve que Gatien n’est pas un prénom bizarre.

Pour lui, la place Plumereau est le sommet de l’art de vivre français.

On s’est inspiré de « Tu sais que tu viens de … quand » pour réaliser le portrait d’un Tourangeaux.

Le Parisien court après le bus, le métro ou encore le RER.

Dans sa vie, il a sûrement croisé plus de pigeons que d’êtres humains.

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour réaliser le portrait d’un Parisien.

Pour le Niortais, les deux lieux les plus connus de la ville sont la Brèche et le Donjon.

Il connait la spécialité de Niort. C’est l’angélique.

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour réaliser le portrait d’un Niortais.

Le Rémois sait qu’il ne faut pas aller au parc Léo Lagrange tout seul la nuit.

Lorsqu’il dit « je ne sais pas », ça tend beaucoup vers « ché po ».

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour réaliser le portrait d’un Rémois.

Le Bayonnais sait que l’Euskara, ce n’est ni un dialecte, ni un patois, mais une langue vivante.

Au moins un des ses amis a « etxe » ou « garay » dans son nom.

On s’est inspiré de « Tu sais que tu viens de … quand » pour écrire le portrait d’un Bayonnais.

Le Bisontin sait qu’il peut faire facilement 25 km en « bagnole » sans voir un seul patelin.

Il lui arrive de boire l’apéro le dimanche midi et aussi les autres jours de la semaine.

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour réaliser le portrait d’un Bisontin.