L’été, si la température n’excède pas les 33 degrés, le Nîmois se dit « On s’en sort bien ! ».

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour réaliser le portrait d’un Nîmois.

Le Breton a au moins deux de ses amis qui s’appelle Gwen, Yann, Erwan ou Ronan

Avant de se baigner, il vérifie à quelle heure « Elle est haute ».

On s’est inspiré de « Tu sais que tu viens de … quand » pour écrire le portrait d’un Breton.

Le Mosellans ne dit pas « moineau » mais « Spatz » et prononce le « T » de « vingt ».

Lorsqu’il croise quelqu’un de chauve, il dit qu’il est tout « klatz ».

On s’est inspiré de « Tu sais que tu viens de … quand » pour écrire le portait d’un Mosellans.

Le Franc-Comtois, qui a déjà fait la Percée du vin jaune, joue aux quilles et pas à la pétanque.

Pour lui la Suisse représente les clopes, l’essence et le chocolat.

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour écrire un portrait d’un Franc-Comtois.

Le Rochelais n’a pas envie que sa ville devienne le St-Tropez de l’Atlantique.

Il est fier de savoir qu’il vient de la première ville à avoir instauré la journée sans voiture, même si parfois, il aimerait instaurer une journée sans piéton.

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de .. quand » pour réaliser le portrait d’un Rochelais.

Le Drômois peut parler pendant des heures du nougat de Montélimar, des olives de Nyons, de la caillette de Chabeuil, du tilleul des Baronnies, du Saint-Genix, du picodon …

Il sait que le Tourniol (col) est plus difficile que les Limouches (col) et que « Glandasse » (montagne) n’est pas qu’un subjonctif imparfait.

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour écrire un portrait d’un Drômois.

L’Azuréen sait que la route de Grasse se trouve à Antibes, la rue d’Antibes est à Cannes, l’avenue de Cannes est à Juan les Pins.

Pendant le festival, il ne va jamais faire un tour à Cannes.

A partir du « Tu sais que tu viens de … quand », on a écrit le portrait d’un Azuréen.

Le Nordiste lave le par terre avec une raclette et une wassingue.

Les frites avec de la mayo et du vinaigre, ça lui semble bien bon.

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour réaliser le portrait d’un Nordiste.

Quand l’Aveyronnais se rend à l’étranger, on lui parle souvent du viaduc de Millau.

Il apprécie aussi pouvoir skier l’hiver et profiter des lacs, l’été.

On s’est inspiré du « Tu sais que tu viens de … quand » pour écrire le portrait d’un Aveyronnais.

L’Ardennais se méfie des voitures immatriculées 51, 59 ou 02, car pour lui, ils ne savent pas conduire.

Quand on lui dit qu’il va finir à Bel Air, il sait que ce n’est pas pour voir le prince

On s’est inspiré de « Tu sais que tu viens de … quand » pour écrire le portrait d’un Ardennais.