Les Français voyagent autrement. Durant l’été 2012, le nombre de nuitées, achetées sur le web et entre particuliers, a progressé de près de 500%, par rapport à la même période l’an dernier.

Sur la même période, les demandes de réservations, pour des séjours en France, chez le leader français Abritel ont augmenté de 32%.

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Partager ses cauchemars gastronomiques en plein ciel. C’est l’idée du site AirineMeals. Les photos sont ajoutées avec leur petit commentaire et une note.

Le site compte déjà 26 000 photographies.

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Cher agent secret, la nouvelle édition du Streetwars de Lyon commence le lundi 24 septembre à 0h01. Votre objectif, si vous l’acceptez : mouiller son adversaire avec de l’eau pour l’éliminer.

Les règles sont simples. Vous possédez une fiche avec une cible. Vous devez la traquer, à son domicile comme à son travail. Une seule goutte d’eau suffit pour éliminer l’adversaire et vous récupérez son « watercod ».

Les inscriptions sont obligatoires jusqu’au 20 septembre. Le message s’autodétruira dans 5 secondes.

Le producteur de croisière, DS Voyages, a interrompu ses ventes et ses départs jusqu’à nouvel ordre. Cette annonce fait suite à l’immobilisation du navire dans le port de Marseille depuis samedi en raison de factures de carburant non réglées par l’armateur et de salaires impayés aux membres d’équipage.

Maintenant, le producteur va déclencher une procédure pour rembourser ses clients.

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Non, le service minimum n’est pas remis en cause, contrairement à ce que révélait Le Parisien ce matin.« Nous démentons formellement toute idée de remettre en cause le service minimum », a expliqué à l’AFP une responsable du ministère de Frédéric Cuvillier.

Elle a ajouté : « Le gouvernement s’interroge sur l’éventualité de revoir certaines modalités d’application pour améliorer le dialogue social », mais n’a pas précisé celles qui pourraient être revues.

Rappelons que cette loi instaure « l’obligation pour les salariés d’indiquer 48 heures à l’avance qu’ils ont l’intention de faire grève pour permettre aux collectivités locales de réorganiser le service sur les dessertes les plus importantes, en substituant des non-grévistes aux grévistes ».

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« Ce bus ne va pas à Beauvais ». Dans cette campagne de publicité, la compagnie low cost Transavia se moque de sa grande rivale irlandaise Ryanair, sans la nommer.

En effet, Ryanair ne propose pas de départ de Paris, mais de Beauvais. « Ce message pourra donc faire sourire tout ceux qui ont connu les désagréments d’un départ à Beauvais » explique le communiqué de Transavia.

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Le Club Med pourrait traverser l’Atlantique pour s’installer dans le le Massif de Charlevoix au Québec. Selon la presse canadienne, en tout, six associés potentiels, dont le Massif de Charlevoix, ont retenu l’intérêt du groupe.

L’arrivée du Club Med dans Charlevoix devrait donc se faire sous la forme d’un partenariat.

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Certains touristes se sentent à l’hôtel, comme chez eux. Il leur arrive d’oublier parfois des objets insolites.

Selon un sondage mené par la chaîne Choice Hotels, 68% des oublis sont des vêtements, 21% des chaussures. Mais dans la rubrique des objets surprenants, 18% des hôteliers questionnés ont avoué avoir déjà retrouvé des sextoys et 15% des dentiers.

Choice Hotels Europe a mené cette enquête en ligne en juillet dernier, auprès d’un panel de 130 volontaires, directeurs d’établissements et personnels d’accueil des hôtels franchisés au Royaume-Uni, en France, en Allemagne et en Italie.

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Les hôtels parisiens n’arrêtent pas de se remplir. Du coup, près de 4000 chambres devraient s’ouvrir d’ici 2018.

Rappelons qu’entre 2008 et 2012, 1700 nouvelles chambres avaient été ouvertes.

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Une femme maître d’hôtel du Sofitel Méditerranée de Cannes ne souriait jamais. Sa direction l’avait donc licenciée en mai 2004.

Tout avait commencé un mois auparavant. L’employée, déléguée CGT, avait déposé plainte contre son employeur pour harcèlement moral et discrimination syndicale. Le bras de fer s’était alors engagé. Il ne s’est terminé qu’en juillet dernier.

Selon la direction, « elle aurait formulé des insinuations diffamatoires à l’encontre du directeur, harcelé moralement un apprenti et adopté une attitude désobligeante vis-à-vis de la clientèle ». L’inspecteur du travail n’aurait pas autorisé ce licenciement d’une déléguée syndicale.

Mais le recours déposé devant le ministre de l’époque valide ce licenciement. La cour administrative d’appel de Marseille puis le tribunal administratif de Nice ne sont pas du même avis. Ils estiment que « l’employeur ne démontre pas que le manque d’amabilité qu’aurait eu la salariée était un comportement habituel de sa part, de nature à porter atteinte à l’image du restaurant et à entraîner une désaffection de la clientèle ».

Cette jurisprudence permet donc aux salariés de faire la gueule quand bon leur semble. Mais ça ne doit pas être tout le temps.

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