Une femme maître d’hôtel du Sofitel Méditerranée de Cannes ne souriait jamais. Sa direction l’avait donc licenciée en mai 2004.

Tout avait commencé un mois auparavant. L’employée, déléguée CGT, avait déposé plainte contre son employeur pour harcèlement moral et discrimination syndicale. Le bras de fer s’était alors engagé. Il ne s’est terminé qu’en juillet dernier.

Selon la direction, « elle aurait formulé des insinuations diffamatoires à l’encontre du directeur, harcelé moralement un apprenti et adopté une attitude désobligeante vis-à-vis de la clientèle ». L’inspecteur du travail n’aurait pas autorisé ce licenciement d’une déléguée syndicale.

Mais le recours déposé devant le ministre de l’époque valide ce licenciement. La cour administrative d’appel de Marseille puis le tribunal administratif de Nice ne sont pas du même avis. Ils estiment que « l’employeur ne démontre pas que le manque d’amabilité qu’aurait eu la salariée était un comportement habituel de sa part, de nature à porter atteinte à l’image du restaurant et à entraîner une désaffection de la clientèle ».

Cette jurisprudence permet donc aux salariés de faire la gueule quand bon leur semble. Mais ça ne doit pas être tout le temps.

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Il aurait dû tourner sa langue 7 fois dans sa bouche avant de parler. Mais Michael O’Leary, le dirigeant de la compagnie Ryanair, n’a pas voulu tenir compte de cette expression.

Le Daily Telegraph rapporte l’anecdote d’une famille anglaise de 5 personnes. Récemment, elle avait voyagé avec Ryanair en Espagne et avait dû payer 60 euros par personnes. La raison ? Elle avait oublié d’imprimer les cartes d’embarquement.

Suite à cette péripétie, Suzy McLeod, l’une de ces personnes, avait lancé sur Facebook un appel afin de dénoncer les pratiques de la compagnie irlandaise et tenté de faire modifier ce mode de fonctionnement. Mais cette sollicitation n’a pas fait changer la position de Ryanair. Pire, son patron, Michael O’Leary, n’a pas hésité à commenter : « Mme McLeod m’a écrit la semaine dernière pour solliciter une demande d’indemnisation en signe de bonne volonté. A laquelle nous avons répondu poliment mais fermement : Merci, Mme McLeod, mais c’était votre connerie ». Par la suite, dans le journal irlandais Irish Independant, il s’est un peu rétracté : « Ce n’est pas elle que je traitais de stupide, mais tous ces passagers qui pensent que nous allons changer notre politique ou notre tarification », avant d’ajouter « j’ai moi-même été taxé d’idiot lorsque j’avais oublié mon passeport une fois au moment d’embarquer pour un voyage. »

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Le patrimoine français connaît de belles retombées économiques. Interrogé à l’occasion des journées du patrimoines, le cabinet d’Aurélie Filippetti, ministre de la culture a rappelé dans le journal Les Echos que « le patrimoine génère 15 milliards d’euros de retombées touristiques ».

« Le secteur fabrique 100.000 emplois publics et privés » ont-ils ajouté.

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La Chine a une nouvelle fois arrêté de délivrer des permis de séjour pour les visiteurs étrangers au Tibet, rapportent plusieurs tour-opérateurs.

Ces derniers mois, la Chine a créé des règles plus strictes en exigeant, notamment, que les gens se déplacent dans un groupe de cinq ou plus, et qu’ils soient tous de la même nationalité.

Il n’y a aucun moyen de savoir combien de temps la restriction sera mis en place ou pourquoi elle a été mise en place.

Ils avaient une folle envie de se faire de l’argent facilement. Leur manège est maintenant fini.

En tout, 18 employés de l’aéroport de New-York, JFK, ont été arrêtés le 12 septembre. La justice américaine les accuse d’avoir volé pas moins de 100 000 mini-bouteilles d’alcool.

D’après la police, 15 salariés de LSG Sky Chefs, qui fournit à American Airlines en nourriture et boisson, récupéraient les petites bouteilles restantes à la fin d’un vol, avant de les revendre à des magasins d’alcool. Ils étaient aidé par trois agents de la sécurité.

Un beau réseau lucratif puisque la valeur du butin est estimée à 750 000 dollars (environ 581 000 euros).

Ils encourent 7 à 15 ans de prison.

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Il a attendu de monter au ciel pour lui demander sa main. Edmund Arvind Arubbs a même imaginé un scénario digne d’un film.

Il commence par envoyer un mail à la compagnie AirAsia. L’idée est acceptée par la direction.

Le personnel de bord va jouer un grand rôle. A l’interphone, il annonce qu’une personne du nom d’Edmund Arvind Arubbs était recherchée car elle avait été prise en train de fumer dans les toilettes de l’aéroport. C’est alors que sa copine, Nina l’appelle. Il lui dit qu’il ne peut pas prendre cet avion et prendra le prochain vol pour leur départ en vacances à Siem Reap, au Cambodge. Elle est furieuse de partir sans son fiancé, mais les hôtesses ont déjà refermé les portes de l’avion.

Quelques instants après le décollage, une voix parle à l’interphone de son histoire d’amour avec son futur mari. Cette voix, c’est tout simplement Edmund. Plusieurs minutes plus tard, il part la retrouver et se met à genoux.

Tous ces efforts ont porté leurs fruits car Nina a accepté la demande en mariage.

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L’argent ne fait pas le bonheur mais le bacon fait voyager. Cela pourrait être la devise de Josh Sankey. Sans argent ni carte de crédit, l’acteur va essayer de faire le tour du monde en payant qu’avec du bacon.

L’objectif de cette expérience ? Contribuer à une vaste campagne de publicité appelée «The Great American Bacon Barter».

Pour l’instant, il a réussi son départ de New-York et a rejoint Louisville.

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Un nouveau record insolite. Matt Wolstenholme a jonglé pendant plus de vingt kilomètres avec un ballon. Sa performance a été homologuée par le « Guiness Book ».

« J’avais mal partout à la fin mais ça valait le coup », a-t-il expliqué. En tout cas, nous le félicitons !

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On peut se demander ce qu’il s’est passé dans la tête du fabricant japonais. Il a présenté un modèle de moto qui marche avec les excréments.

Mais ce prototype ne verra (pour l’instant ?) pas le jour. Son créateur s’explique : « Nous espérons simplement avec ce prototype mettre en avant notre souci écologique ».

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Peu de personnes pourront les acheter. L’entreprise Beijing Taihe Real Estate Development est en train de construire une nouvelle ville en Chine avec des maisons allant jusqu’à 47 millions de dollars (plus de 36 millions d’euros).

En tout, une cinquantaine de villas vont être construites. La moins chère coûtera, tout de même, 4,7 millions de dollars. A ce prix là, les futurs propriétaires auront des caves à cigares, des pièces secrètes, des piscines romanes …

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