Oct
3
2012

L’hôtel offre une vue magnifique sur les toilettes

Non, ce n’est pas un nouveau club de voyeurisme qui s’est ouvert à New-York. Le club Boom Boom Room qui est au 18ème étage de l’hôtel Standard offre une vue fantastique de toute la ville à ses clients des W-C. Mais en contre-partie, les piétons peuvent aussi admirer les utilisateurs des toilettes faire leurs besoins. Malheureusement pour les usagers, rien n’indique cette situation plutôt délicate. D’ailleurs, certains passants du parc High Line n’hésitent pas à prendre quelques photos, en souvenir sûrement. « La vue extérieure est passionnante, mais la vue intérieure est effrayante », explique David Langdon, au New York Daily avant de rajouter : « j’ai vu des gens me faire des signes. Assis sur le trône, on ne s’attend pas à avoir du public ». Mais tous les piétons n’apprécient pas cette vue. « Je me sens mal pour les autres personnes sur la 14e rue », raconte-t-elle. « Je détourne donc le regard ».

Cachez moi ce paysage

Devant la polémique grandissant, la direction a installé des rideaux noirs qui cachent l’intimité des invités. Le directeur s’est justifié au New York Daily Times : « Nous faisions des rénovations et nous avons oublié de remettre en place les rideaux ». Pas sûr que cette explication soit la bonne car il faut signaler que l’hôtel Standard a lancé récemment une campagne publicitaire mettant en vedette une femme qui urinait sur un tapis devant un homme.

[Photo ]

Aucun commentaire Faire un commentaire

  • C’est assez incroyable comme histoire. L’architecte n’a pas du coûter bien cher.

  • Je pense que l’idée soit venu de l’architecte qui ne fait que oeuvre mais ne sait on jamais?

    Quoiqu’il en soit, c’est une belle idée de tarée ! Jamais je n’irais dedans mais 18 étages quand même, faut en vouloir pour que quelques prennes des photos.
    Je me sentirais bien mal à l’aise.

    Et la recherche « boom boom room new york » qui a abouti sur ton article, lui il recherchait certainement pas des toilettes à New york…lol

Laisser un commentaire à Pierre