Flop 5 : les aéroports en furie

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Le samedi, on revient sur le pire de l’actualité touristique de la semaine dans un flop 5.

5- Des vacanciers bloqués à l’aéroport

Après les 200 passagers de XL Airways restés bloqués à l’aéroport de Paris le 17 juillet dernier, c’est au tour de deux nouvelles compagnies de voir leur avion cloué au sol. 227 passagers d’un vol d’Air New Zealand à destination de Auckland (Nouvelle-Zélande) sont restés bloqués pendant 3 jours à Honolulu (Hawaï). Mais le fait de rester coincer sur une île paradisiaque n’a pas suffit à calmer les passagers. Ces derniers ont été indemnisés de 850 dollars par la compagnie. Mais pas de chance pour celle-ci, qui comptait parmi ses passagers le rédacteur en chef d’un des principaux journaux de Nouvelle-Zélande. A l’aéroport de Roissy (Paris) cette fois-ci, c’est un avion en panne qui a cloué au sol 210 passagers de la compagnie capverdienne TACV. Suite à un problème technique, l’avion n’a en réalité jamais quitté le Cap-Vert. Les voyageurs, privés de leurs bagages déjà pré-enregistrés, ont du patienter 4 jours à l’aéroport de Roissy. La compagnie prévoit un dédommagement de 600 € par personne.

4- Ivre, Kate Moss provoque un chahut dans un aéroport

« Si j’avais eu le culot de me montrer dans cet état, on ne m’aurait jamais laissé monter dans l’avion. Mais c’est Kate Moss, alors… ». La célébrité, ça aide. Un témoin confie au Daily Mail avoir assisté au triste caprice de Kate Moss. Lundi 28 juillet, le top britannique s’est présentée complètement ivre à l’aéroport de Bodrum (Turquie). La quadragénaire n’a pas hésité à doubler tous les voyageurs au comptoir d’enregistrement, sans même s’excuser. Le Daily Mail affirme que la mannequin n’avait pas de billet qu’elle cherchait à en obtenir un gratuitement. Et il semblerait que son état d’ébriété et son impolitesse ne lui ont pas empêché d’obtenir gain de cause. Cette dernière est belle et bien montée dans l’avion pour Londres (Angleterre).

3- Les rats, invités surprises des jardins parisiens

Les rats, tout comme les touristiques, envahissent les pelouses de la capitale. Avec les beaux jours, les vacanciers se restaurent à l’extérieur et s’installent dans les différents jardins parisiens. Mais certains ne nettoient pas convenablement les lieux en partant. Pour le plus grand bonheur des rats, qui raffolent des restes alimentaires. Il n’est pas donc pas rare de croiser les rongeurs dans les jardins du Louvre ou des Tuileries. Il est difficile de quantifier le phénomène, mais selon France Inter, il y a environ 6 millions de rats dans la capitale. Et cette prolifération est inquiétante du point de vue hygiénique. Des interventions intensives devraient prochainement être mises en place par la ville de Paris.

2- Les mauvais chiffres de l’hôtellerie française pour le mois de juillet

Le mois de juillet vient à peine de s’achever que les premiers chiffres sont déjà tombés. Les recettes des hôteliers français ont reculé de 3,4 % par rapport à juillet 2013. Selon le cabinet d’étude MKG, le taux d’occupation moyen est de 75,8 %, soit 1,2 point par rapport à l’année dernière. Ce recul est davantage marqué sur les hôtels économiques et milieu de gamme (-2,4 points) tandis que la fréquentation des hôtels haut de gamme se maintient (+1 point), notamment grâce aux clients étrangers. La première moitié de la saison marque donc une certaine déception et une inquiétude pour les professionnels. Avec la baisse du pouvoir d’achat des ménages, les clients ont tendance à réduire leur vacances et à profiter des offres de dernières minutes pour bénéficier de tarifs moins élevés. Mais qu’en sera-t-il du mois d’août ?

1- Grève au sein du personnel au sol d’Air France

C’est le plus gros chassé-croisé de l’année. Rien de tel pour Air France pour se faire entendre. Ce samedi 2 août, le personnel au sol d’Air France est en grève pour protester contre la dégradation de leurs conditions de travail et la sous-traitance. L’appel a été lancé dans la semaine par plusieurs syndicats. Orly, Roissy-Charles-de-Gaulle et certains aéroports régionaux sont concernés par cette grève.

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