Partis de l’île espagnole Palma de Majorque samedi dernier, les 110 passagers du vol QS2431 à destination de Paris ne sont arrivés que dimanche à 5h du matin. En escale d’une heure à Lyon, les voyageurs de la compagnie Smart Wings ont été priés de descendre de leur avion. Seulement, ils n’ont jamais redécollé de l’aéroport Saint-Exupéry. Affrété par le voyagiste français FRAM, leur boeing 737 est finalement reparti avec d’autres voyageurs en direction des Canaries.

L’escale à Lyon était au programme. Mais sous prétexte d’un plein de kérosène, la halte s’est éternisée. Puis les bagages ont été débarqués, avant même que les voyageurs ne soient descendus. Ces derniers sont immobilisés à l’aéroport de Lyon en attendant un nouvel avion. Malheureusement pour eux, c’est en bus que les passagers finissent le trajet jusqu’à Paris. « On nous a volé notre avion et nous sommes restés en plan ! » s’indigne une passagère du vol sur RTL.

Le trajet qui devait durer moins de 4 heures en a mis 13 au bout du compte. Mais les raisons de cette mésaventure restent floues. La compagnie tchèque à bas prix ainsi que le voyagiste FRAM n’ont pour l’instant fait aucun commentaire.

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Lors de la finale de la Coupe de France de foot opposant Guingamp à Rennes, ce samedi 3 mai, la capitale a accueilli des supporters Bretons plutôt farceurs. Peu de temps avant la victoire de leur équipe (2-0), des supporters de l’En Avant Guingamp se sont rendus à la station de métro parisienne du nom de leur adversaire. Ils ont remplacé le panneau « Rennes » par « Guingamp ».

Les protagonistes ont immortalisé ce moment. La photo a très rapidement été partagée sur les réseaux sociaux. Selon la Charente Libre, la plaisanterie n’aurait pas plu à la RATP. Néanmoins, les auteurs de ce relooking démentent toute rumeur d’amende. Au contraire, ils expliquent que cette « action bon enfant a fait rire les conducteurs et policiers présents dans la rame de métro ».

Les supporters de Guingamp changent le nom de la station Rennes (ligne 12) #qml pic.twitter.com/y318z9ZuUb

— Thibaultdm (@Thibaultdm) 3 Mai 2014

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Sam Clauw a battu le record du « plus long séjour à bord d’une attraction d’un parc à thèmes ». La tentative s’est déroulée entre le 29 avril et le 1er mai. Ce fan de Bellewaerde (photo), en Belgique, est resté dans l’attraction en marche pendant près de 50 h. Il a eu droit à 5 minutes de pause par heure.

L’ancien record du monde était détenu par un Américain. Il avait passé 48h 8 min et 25 sec à bord d’une grande roue à Chicago. Pendant cette tentative de record, le Belge a récolté de l’argent pour Amur Leopard and Tiger Alliance (ALTA) afin de soutenir la sauvegarde des léopards de l’Amour.

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Une jeune femme a accouché vendredi 25 avril, sur le périphérique de Nantes. Cette Bouguenais raconte l’histoire à Ouest-France : « J’avais perdu les eaux avant de partir. J’ai ressenti les premières contractions entre la porte de Saint-Sébastien et celle de Haute-Goulaine. Je me suis d’abord dit que ça allait le faire ».

Le père de famille décide donc de s’arrêter sur la la bande d’arrêt d’urgence et allume ses feux de détresse. De son côté la future mère s’installe sur le bas-côté dans l’herbe. Un couple stoppe près d’eux. Une dame apporte une couverture alors que le mari appelle les secours. Les pompiers et les médecins du Samu arrivent. Le papa raconte : « J’ai coupé le cordon ombilical dans le camion des secours ». Toute la petite famille va bien. La petite fille s’appelle Siloé.

L’Etat du Colorado (Etats-Unis) a légalisé en janvier dernier la vente de cannabis. Un groupe d’entrepreneurs s’est inspiré du site de location d’appartements Airbnb pour créer le site AirTHC.

Ce site permet aux propriétaires de maisons et d’appartements de louer leurs résidences aux touristes qui désirent fumer du cannabis ». Pour mémoire, la loi interdit la vente libre de cannabis dans les lieux publics, y compris dans les chambres d’hôtel.

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Le 25 mai prochain, les 56 habitants en âge de voter du village espagnol de Castrillo Matajudios (Tue les Juifs en espagnol) vont choisir s’ils souhaitent changer le nom de leur commune.

Le maire et initiateur de ce référendum, Lorenzo Rodriguez, a expliqué à l’AFP : « Le village doit en effet sa création en 1035, au fait que des Juifs, dépossédés de leurs biens et expulsés de leurs maisons ailleurs en Espagne, s’étaient réfugiés là, sur une petite colline, « mota » en espagnol.

Et vous changeriez-vous le nom de cette commune ?

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Alic Aïda a dû annuler ses vacances. En cause : la compagnie Swiss Air a refusé de la faire monter à bord de son avion en direction des Etats-Unis. « J’ai d’abord cru à une blague, puis j’ai réalisé que notre voyage tombait à l’eau, » explique cette habitante de La Motte-Servolex (Savoie) au Dauphiné Libéré.

Les faits se sont déroulés ce mercredi matin à Genève (Suisse). Cette femme dont le nom ressemble à Al-Qaïda raconte : « On m’a dit qu’ils avaient reçu un appel de l’immigration américaine disant que j’étais blacklistée et que je ne pouvais pas monter à bord ». La jeune femme souhaite écrire au Premier ministre, au président de la République et à l’administration américaine afin d’avoir des explications. La compagnie aérienne ne l’a toujours pas remboursé des 2.700 euros de billets d’avion envolés. Ce motif n’entre pas dans les critères de remboursement de la compagnie.

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Eerie se trouve à Isla Mujeres, près de Cancun (Mexique). Contrairement à la grande majorité des musées, celui-ci se situe dans l’eau. Plus de 450 statues ont été conçus en grande partie par Jason de Caires Taylor, un artiste britannique.

Ces statues représentent des personnes dans des situations de la vie quotidienne. L’objectif de ce musée est de sensibiliser les visiteurs à la protection de la barrière de corail menacée. Selon Voyager loin, la visite est à partir de 38 €.

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Google et la société d’exploitation de la Tour Eiffel ont dévoilé 3 expositions pour découvrir le célèbre monument parisien. Ces expositions permettent aux internautes de monter au 2e étage de la célèbre Dame de fer sans se déplacer.

Le communiqué de l’exposition explique que les photos « plongent l’internaute dans le contexte de la naissance de la Tour, de sa construction, mais aussi de son inauguration et de ses premiers visiteurs ». Vous pouvez voir l’expo sur http://www.google.com/culturalinstitute/

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La première rencontre, c’était en 1982. « J’ai eu ce sentiment bizarre que je ne pouvais pas expliquer. Mon cœur battait la chamade chaque fois je montais sur la plate-forme de Bruce. » confie Linda Ducharme à Logo TV. Cette habitante de Floride (Etats-Unis) souffre de Mechanophilia. Cette maladie provoque une attirance sexuelle pour des objets. En ce mois de novembre 2013, Linda Ducharme a renouvelé ses vœux avec une grande roue de parc d’attractions, appelée Bruce, qu’elle avait épousée l’an dernier.

« Mon objectif est de passer le reste de ma vie et vieillir avec lui », raconte-t-elle au Daily News. Ce n’est pas la première fois qu’une personne s’unit avec un monument. En juin, une Australienne s’était mariée avec un pont. Rappelons que l’état de Floride interdit encore le mariage homosexuel.