A 1.500 € le couvert, le SlubliMotion est devenu le restaurant le plus cher au monde. Inauguré ce week-end, cet établissement fait partie du Hard Rock Hotel, une célèbre chaîne hôtelière 5 étoiles.

Ce n’est pas seulement les talents culinaires de son chef, Pablo Roncero, qui justifient les prix démesurés du restaurant. Avec une capacité d’accueil de 12 personnes, les rares privilégiés assistent à un véritable spectacle de lumières. En coulisses, une jeune femme accorde les décors aux plats des convives. Des tables jusqu’aux murs, les projections virtuelles plongent les invités au cœur du château de Versailles ou encore au fond des océans.

Ce « théâtre des sens » vient s’ajouter à la liste des restaurants les plus insolites au monde.

L‘Echo touristique a publié, ce vendredi 13 juin, une analyse de l’évolution des compagnies aériennes sur le marché français. Le site internet s’est appuyé sur les informations disponibles auprès de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC). Par rapport à l’année dernière, le trafic aérien a augmenté de 2,6% (de la France vers l’international). Une progression bien inférieure au trafic mondial (5%). Toutefois, cette étude révèle aussi que le trafic intérieur a progressé de 12%, notamment grâce aux liaisons low cost.

Les compagnies étrangères et low cost gagnent rapidement du terrain. Depuis 2010, elles enregistrent une croissance de 34% contre 7% pour les compagnies françaises « traditionnelles ». Mais ces dernières ne sont pas pourtant autant perdues. Air France reste la première compagnie dans l’Hexagone, transportant entre 46 et 54 millions de passagers par an.

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Des milliers de personnes vêtues de blanc ont investi le centre de la Capitale ce jeudi 12 juin à l’occasion du « 26ème dîner en blanc ». 12 à 13.000 participants se sont retrouvés sur six ponts emblématiques de Paris dont le pont Alexandre III ou le Pont de l’Alma. Les lieux changent chaque année : l’an dernier, 11.000 dîneurs ont pris place au Louvre et au Trocadéro.

Comme le veut la tradition, les convives ont appris au dernier moment les points de rendez-vous. Les alcools forts étaient interdits. Seuls les verres de vin et les flûtes de champagne ont étoffé les tables. Les dîneurs se devaient aussi de disparaître avant minuit, d’emporter leurs déchets et de rendre les sites intacts.

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Il n’est pas rare de croiser un éléphant lorsqu’on se rend en Thaïlande. Mais il est plus surprenant qu’un touriste réussisse à stopper l’animal alors qu’il fonçait dans sa direction.

Cette vidéo a été tournée dans la jungle de Phu Luang Wildlife Sanctuary en Thaïlande. Un touriste se positionne à quelques mètres d’un éléphant en liberté afin de pouvoir l’observer. Mais au bout de quelques instants, l’animal charge le touriste. Alors que la réaction instinctive aurait été de courir, l’homme fait preuve d’un sang-froid déconcertant et stoppe l’animal d’un simple geste de la main. Au passage, le touriste en profite pour faire quelques photos.

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La cérémonie d’ouverture de la Coupe du monde a lieu ce jeudi 12 juin à São Paulo. Alors difficile de passer à côté de cet évènement dans la presse. RFI revient sur l’impact touristique du Mondial. Environ 3,7 millions de touristes sont attendus pour l’occasion et plus de 600.000 supporters étrangers viendront assister aux matchs. Le pays mise sur des retombées économiques supérieures à 3 milliards d’euros.

Les prix flambent comme en témoigne un agent immobilier : « un appartement (de luxe) de deux chambres, […] se loue aux alentours de 25 à 30.000 euros pour le mois ». Le prix d’une location immobilière a été multiplié par 4 pendant le Mondial. Un luxe qui comble l’industrie touristique mais qui s’oppose à la situation économique du pays et à ses manifestations populaires presque hebdomadaires.

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La mort n’en voulait pas. Une femme, dont l’âge n’a pas été précisé, s’est jetée sous un train le 30 mai dernier, en gare de Fontainebleau-Avon (Seine-et-Marne). Selon l’AFP, la jeune femme est « passée sous le train, qui est surélevé et a dû tomber entre les rails ».

Miraculeusement, elle n’a rien eu. Celle qui a voulu se suicider a été sortie par les secours. Elle a ensuite été conduite dans une unité psychiatrique de l’hôpital de Nemours. Le trafic a dû être interrompu pendant une heure sur la ligne.

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« Le sur-poids des sentiments » titrait Le Figaro ce lundi. Une partie du grillage du pont des Arts à Paris s’est effondrée ce dimanche 8 juin sous le poids des milliers de cadenas accrochés par les touristes. D’après un responsable de la préfecture de Police, cet incident s’est déroulé « vers 17h50. 2,40 m de grillage se sont effondrés sur la passerelle, sans faire victime ». Le pont a tout de même rouvert dans la soirée

Ce célèbre pont, qui enjambe la Seine au niveau du Louvre, est mondialement connu. Les couples viennent fixer des cadenas le long des grilles, puis jettent la clé dans la Seine, afin de sceller leur union. Cette attraction touristique est apparue à Paris en 2008, après s’être manifestée aux 4 coins du monde : Italie, Russie, Chine, etc. Anne Hidalgo, maire de Paris, s’est engagée à trouver « des alternatives à la fois artistiques, solidaires et écologiques » à ce phénomène, qui entraîne des « problèmes de sécurité et d’esthétique ».

Le poids de l’amour #Pontdesarts pic.twitter.com/2FfHgvQvDa

— Eric Andre (@eric_sennse) 8 Juin 2014

Cette histoire est digne d’un film. Le 30 décembre dernier, le vol Des Moines – Denver (États-Unis) a frôlé la catastrophe. Le commandant de bord a été victime d’une crise cardiaque en plein vol.

Une première annonce, diffusée dans l’avion, demande s’il y a des personnes de professions médicales dans l’avion. Deux infirmières, Linda Alweiss et Amy Sorenson interviennent alors rapidement afin de maintenir le pilote en vie qui est dans un état critique. L’avion, qui volait à environ 9.000 m au dessus du sol, devait encore atterrir. La copilote n’avait encore jamais effectué d’atterrissage avec un Boeing 737 dans l’aéroport d’Omaha. Un deuxième appel demande s’il y a « un passager avec de l’expérience de vol » dans cet avion. Mike Gongol, pilote de l’US Airforce vient apporter de l’aide à la copilote.

Le site AirForceTimes, qui a dévoilé cette histoire la semaine dernière, explique que cet épisode s’est bien terminé. L’avion a atterri normalement à Omaha et le commandant de bord, hospitalisé d’urgence, est sain et sauf.

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Alexander, un jeune Belge cherchait un endroit insolite pour épouser Marieke. Il n’a pas manqué d’audace en se mariant dans un avion.

Tout commence lorsque le Brugeois remporte le concours « Voudriez-vous vous marier dans un avion ? » proposé par l’agence Thomas Cook sur les réseaux sociaux. Pour que tout soit parfait, Alexander et ses complices choisissent préalablement la bague et la robe de Marieke. Toute la famille joue le jeu, et la future mariée pense avoir gagné un voyage à Rhodes (Grèce) entre sœurs. Filmée comme étant la gagnante de ce voyage, elle embarque en ne se doutant de rien.

Alexander et tous les invités sont cachés à l’arrière de l’appareil. S’improvisant steward, l’homme s’avance vers la jeune femme et s’agenouille pour lui faire sa demande. Après avoir dit « oui », Marieke est habillée, maquillée et coiffée dans une cabine. Le couple s’unit dans les airs. Le vol se termine en beauté puisque Thomas Cook offrent des vacances aux jeunes mariés.

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« Je suis l’origine. […] Je veux que tu me reconnaisses. Vierge comme l’eau. Créatrice du sperme ». Face à une foule de visiteurs, Deborah de Robertis s’est totalement lâchée le 29 mai dernier au Musée d’Orsay. L’artiste plasticienne de 30 ans a pris la pause nue devant le tableau de Gustave Courbert qui représente un sexe féminin. Vêtue d’une robe dorée qui fait écho au cadre de l’œuvre, la jeune femme écarte ses jambes. Très rapidement, une gardienne s’interpose tandis qu’une autre évacue la salle.

Cette performance insolite, qu’elle a appelé « Le miroir de l’origine », a été retiré de Youtube. L’artiste a été placée en garde à vue pour « exhibition sexuelle ». L’affaire a très rapidement été classée « sans suite, avec rappel à la loi ». Selon la jeune femme, cette démarche artistique visait à prendre pour œuvre les réactions de la salle, et ainsi « révéler ce qui n’est pas visible » dans le tableau original.

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